FAB Executive, cabinet de recrutement spécialisé en comptabilité, vous présente son expertise des métiers de l’AEC. Nos équipes de consultants spécialisés vous accompagnent dans vos recrutements sur le secteur de l’audit financier et de l’expertise-comptable.
Les métiers de l’audit financier et de l’expertise-comptable:
Assistant comptable
Opérateur de saisie
Chargé de dossiers comptables
Chef de mission expertise comptable
Manager expertise comptable
Expert-comptable
Auditeur
Manager auditeur
Commissaire aux comptes
Assistant paie
Gestionnaire paie et ADP
Collaborateur social
Responsable de service social
Juriste en droit social
Paramétreur logiciel paie
Chargé de mission audit et conseil RH
Juriste en droit des sociétés
Juriste en droit du travail
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Le métier d’assistant comptable
L’activité en résumé d’un assistant comptable
L’assistant comptable aide à la gestion quotidienne des opérations financières et comptables d’une entreprise ou d’un cabinet comptable. Il s’occupe de la saisie des écritures comptables, de la préparation des documents financiers et de la gestion administrative des factures et paiements. L’assistant comptable travaille sous la supervision d’un comptable ou d’un expert-comptable et veille à la bonne tenue des comptes en respectant les règles comptables et fiscales en vigueur.
Il gère les rapprochements bancaires et contrôle les relevés de comptes
Il prépare les déclarations fiscales et sociales (TVA, cotisations)
L’assistant comptable assure le suivi des factures clients et fournisseurs et relance les paiements en retard
Il classe et archive les documents comptables
Il participe à la préparation des bilans annuels et des documents de clôture comptable
L’assistant comptable aide à la gestion de la paie, si nécessaire, en fonction des tâches assignées
Il réalise des tâches administratives comme la gestion des courriers et des appels
Le profil et les compétences d’un assistant comptable
L’assistant comptable doit avoir de bonnes connaissances en comptabilité générale et en fiscalité
Il doit maîtriser les logiciels de comptabilité (Sage, Ciel, EBP, etc.)
Il doit faire preuve de rigueur et d’organisation dans la gestion des tâches quotidiennes
L’assistant comptable d’être capable de travailler en équipe et d’être polyvalent
Il doit avoir de bonnes compétences en communication pour interagir avec les clients et les fournisseurs
La formation pour devenir un assistant comptable
Pour devenir assistant comptable, il faut un diplôme de niveau Bac à Bac+2 dans le domaine de la comptabilité est requis (Bac Pro Comptabilité, BTS Comptabilité et Gestion, DUT GEA). Une première expérience en stage ou en alternance dans un cabinet comptable ou dans un service comptabilité est un plus.
Le salaire d’un assistant comptable
Le salaire d’un assistant comptable peut varier en fonction de l’expérience, de la taille de l’entreprise et de la localisation géographique. En général, le salaire d’un assistant comptable est compris entre 24 000 et 28 000 euros brut par an.
Les évolutions de carrière d’un assistant comptable
Après avoir acquis de l’expérience en tant qu’assistant comptable, des opportunités d’évolution vers des postes tels que comptable, chef comptable, ou responsable administratif et financier.
L’opérateur de saisie est chargé de la saisie et de la gestion des données pour le compte d’une entreprise ou d’un service administratif. Il recueille, enregistre et met à jour des informations dans des bases de données ou des logiciels informatiques. Ce travail demande de la rapidité, de la précision et une bonne maîtrise des outils bureautiques. L’opérateur de saisie peut être amené à traiter différents types de données, allant des informations financières à des données clients ou produits.
Les missions d’un opérateur de saisie
L’opérateur de saisie doit saisir et mettre à jour des données dans les systèmes informatiques (bases de données, logiciels spécifiques)
Il vérifie l’exactitude des informations saisies et corrige les erreurs éventuelles
Il classe et archive les documents ou les fichiers de données
L’opérateur de saisie répare et organise les documents avant leur saisie (factures, bons de commande, etc.)
Il réalise des tâches administratives liées à la gestion des données (recherche d’informations, vérifications)
Il collabore avec les autres services pour assurer l’exactitude des données transmises
Le profil et les compétences d’un opérateur de saisie
L’opérateur de saisie doit avoir une bonne maîtrise des logiciels bureautiques (Word, Excel) et des outils de gestion de bases de données
Il doit être rapide et précis dans la saisie des informations
Il doit faire preuve de rigueur et d’organisation dans la gestion des documents
L’opérateur de saisie doit avoir un bon sens de la confidentialité, car l’opérateur peut être amené à traiter des informations sensibles
Il doit avoir des compétences en communication pour interagir avec les autres services ou clients
La formation pour devenir un opérateur de saisie
Pour devenir opérateur de saisie, il n’y a aucun diplôme spécifique requis, mais une formation de niveau Bac (comme un Bac Pro Gestion-Administration) est appréciée. Des compétences en bureautique et en informatique sont essentielles. Une première expérience dans un poste similaire ou dans l’administration peut faciliter l’accès à ce métier.
Le salaire d’un opérateur de saisie
Le salaire d’un opérateur de saisie varie en fonction de l’expérience et de l’entreprise. En moyenne, il se situe entre 20 000 et 25 000 euros brut par an. Avec de l’expérience, ce montant peut atteindre 28 000 euros brut par an.
Les évolutions de carrière d’un opérateur de saisie
Avec de l’expérience, un opérateur de saisie peut évoluer vers des postes d’assistant administratif, de gestionnaire de données ou d’opérateur spécialisé dans des secteurs comme la finance, la comptabilité ou les ressources humaines.
L’activité en résumé d’un chargé de dossiers comptables
Le chargé de dossiers comptables est responsable de la gestion comptable d’un portefeuille de clients ou de dossiers au sein d’un cabinet d’expertise-comptable ou d’une entreprise. Il s’occupe de la tenue des comptes, de la préparation des bilans, des déclarations fiscales et du suivi des opérations comptables quotidiennes. Ce poste nécessite une bonne maîtrise des règles comptables, fiscales et parfois sociales, afin d’accompagner efficacement les clients ou l’entreprise dans la gestion de leur comptabilité.
Les missions d’un chargé de dossiers comptables
Le chargé de dossiers comptables assure la tenue des comptes pour les dossiers clients (saisie des pièces comptables, rapprochements bancaires, suivi des opérations)
Il prépare les bilans comptables et les comptes annuels en collaboration avec l’expert-comptable
Il élabore les déclarations fiscales (TVA, IS, CFE) et assure le respect des obligations fiscales
Le chargé de dossiers comptables conseille les clients sur la gestion de leur comptabilité et répond à leurs questions
Il participe à l’élaboration des documents prévisionnels et des budgets
Il veille au respect des délais et des obligations comptables et fiscales
Le chargé de dossiers comptables effectue une veille juridique et fiscale pour s’assurer de la conformité des opérations
Le profil et les compétences d’un chargé de dossiers comptables
Le chargé de dossiers comptables doit avoir une bonne maîtrise des techniques comptables et fiscales
Il doit être rigoureux et organisé dans la gestion des dossiers et le suivi des clients
Il doit savoir utiliser les logiciels de comptabilité (Sage, Cegid, EBP, etc.)
Le chargé de dossiers comptables doit avoir un bon sens du relationnel pour accompagner les clients et les conseiller
Il doit être capable de travailler de manière autonome tout en respectant les délais
La formation pour devenir un chargé de dossiers comptables
Pour devenir chargé de dossiers comptables, il faut un diplôme de niveau Bac+2 à Bac+3 en comptabilité ou gestion (BTS Comptabilité et Gestion, DUT GEA ou Licence en Comptabilité) est requis. Une expérience de plusieurs années en tant qu’assistant comptable ou dans un poste similaire est souvent nécessaire pour évoluer vers ce poste.
Le salaire d’un chargé de dossiers comptables
Le salaire d’un chargé de dossiers comptables varie selon l’expérience et la taille du cabinet ou de l’entreprise. En général, il se situe entre 28 000 et 40 000 euros brut par an. Avec de l’expérience, ce montant peut augmenter.
Les évolutions de carrière d’un chargé de dossiers comptables
Avec de l’expérience, un chargé de dossiers comptables peut évoluer vers des postes de chef de mission comptable, de responsable comptable ou d’expert-comptable après avoir obtenu le diplôme d’expertise comptable (DEC).
L’activité en résumé d’un chef de mission expertise comptable
Le chef de mission expertise comptable est un professionnel qui gère un portefeuille de clients au sein d’un cabinet d’expertise comptable. Il supervise les équipes chargées de la comptabilité des clients et est responsable de la production des états financiers, des bilans, et des déclarations fiscales. Il assure également un rôle de conseil et d’accompagnement auprès des entreprises pour optimiser leur gestion financière et fiscale. Le chef de mission expertise comptable est l’intermédiaire entre les collaborateurs comptables et l’expert-comptable, garantissant la qualité et la conformité des travaux réalisés.
Les missions d’un chef de mission expertise comptable
Le chef de mission expertise comptable supervise et encadre une équipe de collaborateurs comptables
Il gère un portefeuille de clients et assure le suivi comptable, fiscal et juridique
Il prépare et révise les comptes annuels et les bilans comptables
Le chef de mission expertise comptable établit les déclarations fiscales (TVA, IS, CFE, etc.)
Il conseille les clients sur leur gestion financière, fiscale, et juridique
Il assure la relation avec les clients, comprend leurs besoins et répond à leurs questions
Le chef de mission expertise comptable veille à la conformité des comptes avec les normes comptables et fiscales en vigueur
Il participe à la gestion de la relation clients et au développement du portefeuille clients du cabinet
Il rédige des rapports de gestion, des budgets prévisionnels, et des tableaux de bord pour les clients
Le profil et les compétences d’un chef de mission expertise comptable
Le chef de mission expertise comptable doit avoir une excellente maîtrise des techniques comptables et fiscales
Il doit être capable de gérer une équipe et d’encadrer plusieurs dossiers clients simultanément
Il doit avoir un sens aigu du conseil et de la relation client
Le chef de mission expertise comptable doit faire preuve de rigueur et d’organisation dans la gestion des dossiers
Il doit être à l’aise avec les outils informatiques et les logiciels de comptabilité (Sage, Cegid, etc.)
Il doit avoir une capacité à anticiper les problèmes et à proposer des solutions
La formation pour devenir un chef de mission expertise comptable
Pour devenir chef de mission expertise comptable, il faut un diplôme de niveau Bac+5 en comptabilité ou gestion (Master CCA, DSCG, etc.) est généralement requis. Une expérience significative en cabinet comptable est nécessaire avant d’accéder à ce poste. Certains chefs de mission poursuivent leur formation pour devenir expert-comptable en passant le diplôme d’expertise comptable (DEC).
Le salaire d’un chef de mission expertise comptable
Le salaire d’un chef de mission expertise comptable peut varier en fonction de l’expérience, de la taille de l’entreprise et de la localisation géographique. En général, les salaires peuvent aller de 40 000 et 60 000 euros brut par an.
Les évolutions de carrière d’un chef de mission expertise comptable
Avec de l’expérience, un chef de mission expertise comptable peut évoluer vers des postes d’expert-comptable associé, de directeur de cabinet ou encore de directeur financier au sein d’une entreprise.
L’activité en résumé d’un manager expertise comptable
Le manager expertise comptable supervise et coordonne l’ensemble des activités comptables d’un portefeuille de clients au sein d’un cabinet d’expertise comptable. Il encadre une équipe de collaborateurs et s’assure de la bonne exécution des missions de comptabilité, de fiscalité, et de conseil aux entreprises. Il est responsable de la production des états financiers, des bilans comptables, et des déclarations fiscales, tout en apportant un rôle stratégique de conseil pour améliorer la gestion financière et fiscale des clients. Le manager expertise comptable garantit également la conformité des comptes avec les normes en vigueur.
Les missions d’un manager expertise comptable
Le manager expertise comptable supervise et coordonne une équipe de collaborateurs comptables et chefs de mission
Il gère un portefeuille de clients et veille à la qualité des prestations comptables et fiscales fournie
Il révise et valide les bilans comptables, les comptes annuels, et les déclarations fiscales
Le manager expertise comptable assure la relation avec les clients, les conseille sur des problématiques financières, fiscales et de gestion
Il participe à la définition de la stratégie du cabinet et contribue à son développement commercial
Il accompagne les collaborateurs dans leur montée en compétences et veille à leur formation
Le manager expertise comptable garantit la conformité des comptes avec les normes comptables, fiscales, et sociales en vigueur
Il participe à la mise en place de nouveaux outils ou processus pour optimiser la gestion des missions comptables
Il assure un rôle de conseil auprès des dirigeants d’entreprises pour optimiser la gestion financière et fiscale
Le profil et les compétences d’un manager expertise comptable
Le manager expertise comptable doit avoir une excellente maîtrise des techniques comptables, fiscales et de gestion
Il possède des compétences managériales pour encadrer et animer une équipe
Il doit être capable de gérer plusieurs dossiers clients complexes de manière autonome
Le manager expertise comptable voir un sens du conseil développé pour accompagner les entreprises dans leurs décisions stratégiques
Il doit êre rigoureux, organisé et savoir anticiper les besoins des clients
Il doit maîtriser les logiciels de comptabilité (Sage, Cegid, etc.) et les outils de gestion d’entreprise
La formation pour devenir un manager expertise comptable
Pour devenir manager expertise comptable, il faut un diplôme de niveau Bac+5 dans les domaines de la comptabilité, de la gestion ou de l’audit (Master CCA, DSCG) est requis. Une expérience significative en cabinet comptable, généralement en tant que chef de mission, est indispensable pour accéder à ce poste. La poursuite vers le diplôme d’expert-comptable (DEC) peut être un atout supplémentaire.
Le salaire d’un manager expertise comptable
Le salaire d’un manager expertise comptable peut varier en fonction de l’expérience, de la taille de l’entreprise et de la localisation géographique. En général, les salaires peuvent aller de 45 000 et 65 000 euros brut par an.
Les évolutions de carrière d’un manager expertise comptable
Avec de l’expérience, un manager expertise comptable peut évoluer vers des postes d’expert-comptable associé, de directeur de cabinet, ou de directeur financier d’une entreprise. Il peut également se spécialiser dans des domaines spécifiques comme l’audit, la fiscalité internationale, ou le conseil en fusion-acquisition.
L’expert-comptable est un professionnel de la comptabilité, de la gestion financière et du conseil aux entreprises. Il accompagne les entreprises, les associations ou les particuliers dans la gestion de leur comptabilité, la réalisation des bilans, et la conformité avec les obligations fiscales et sociales. En plus de la production comptable, il conseille les dirigeants sur les décisions stratégiques, optimise la gestion financière et propose des solutions pour améliorer la performance économique. L’expert-comptable est également responsable de l’audit des comptes annuels et de la certification des états financiers.
Les missions d’un expert-comptable
L’expert-comptable tient la comptabilité et supervise la production des états financiers (bilans, comptes de résultat, etc.)
Il assure la révision comptable et la conformité avec les normes comptables et fiscales
Il établit les déclarations fiscales et sociales (TVA, IS, CFE, etc.)
L’expert-comptable conseille les entreprises sur la gestion financière, fiscale et juridique
Il participe à la mise en place de stratégies de développement et d’optimisation financière
Il réalise des audits financiers et certifie les comptes annuels
L’expert-comptable conseille les clients lors de la création, la reprise ou la transmission d’entreprises
Il accompagne les entreprises dans leur gestion quotidienne (prévisions financières, gestion de la trésorerie, etc.)
Il veille à la conformité des opérations avec les réglementations en vigueur
Le profil et les compétences d’un expert-comptable
L’expert-comptable doit avoir une solide maîtrise des techniques comptables, fiscales et de gestion
Il doit être rigoureux, méthodique et organisé pour gérer plusieurs dossiers clients simultanément
Il doit avoir un bon sens du relationnel pour conseiller et accompagner les clients dans leurs décisions stratégiques
L’expert-comptable doit savoir anticiper les risques financiers et fiscaux et proposer des solutions adaptées
Il doit maîtriser les logiciels comptables et de gestion (Sage, Cegid, etc.)
La formation pour devenir un expert-comptable
Pour devenir expert-comptable, il est nécessaire d’obtenir le Diplôme d’Expertise Comptable (DEC), après avoir validé le Diplôme Supérieur de Comptabilité et de Gestion (DSCG). Ce cursus, accessible après un Bac+5, comprend un stage professionnel de 3 ans en cabinet d’expertise-comptable, avant de passer l’examen final du DEC.
Le salaire d’un expert-comptable
Le salaire d’un expert-comptable peut varier en fonction de l’expérience, de la taille de l’entreprise et de la localisation géographique. En général, les salaires peuvent aller de 50 000 et 70 000 euros brut par an.
Les évolutions de carrière d’un expert-comptable
Avec de l’expérience, un expert-comptable peut devenir associé dans un cabinet, créer son propre cabinet, ou évoluer vers des fonctions de directeur financier ou de directeur administratif et financier (DAF) en entreprise. Il peut aussi se spécialiser dans des domaines comme l’audit, la fiscalité internationale, ou le conseil en gestion patrimoniale.
L’auditeur est chargé d’analyser et de vérifier la conformité des comptes et des processus financiers d’une entreprise. Il peut exercer en tant qu’auditeur interne, travaillant au sein de l’entreprise pour s’assurer de la régularité et de l’efficacité des opérations financières, ou en tant qu’auditeur externe, au sein d’un cabinet d’audit, pour certifier la fiabilité des états financiers. Le rôle de l’auditeur consiste à évaluer les risques financiers et opérationnels, à examiner les processus de contrôle interne, et à émettre des recommandations pour améliorer la gestion de l’entreprise.
Les missions d’un auditeur
L’auditeur analyse et vérifie les états financiers d’une entreprise pour s’assurer de leur exactitude
Il contrôle la conformité des comptes avec les normes comptables et les réglementations en vigueur
Il évalue les processus de contrôle interne et propose des améliorations
L’auditeur identifie les risques financiers et opérationnels et recommande des actions correctives
Il participe à l’élaboration des rapports d’audit détaillant les constats et recommandations
Il collabore avec les différents services de l’entreprise pour recueillir les informations nécessaires
L’auditeur réalise des audits spécifiques selon les besoins de l’entreprise (audits fiscaux, audits de conformité, etc.)
Il assure un suivi des recommandations pour garantir leur mise en œuvre
Le profil et les compétences d’un auditeur
L’auditeur doit avoir une solide maîtrise des techniques comptables et des normes d’audit (IFRS, GAAP, etc.)
Il doit faire preuve de rigueur, d’analyse et de méthode pour réaliser des contrôles précis
Il doit avoir des compétences en gestion des risques financiers et en évaluation des contrôles internes
L’auditeur doit être capable de rédiger des rapports clairs et structurés à l’attention de la direction
Il doit avoir un bon sens du relationnel pour interagir avec les équipes et les dirigeants de l’entreprise
La formation pour devenir un auditeur
Pour devenir auditeur, il faut un diplôme de niveau Bac+5 dans les domaines de la comptabilité, de la finance ou de l’audit (Master CCA, DSCG, écoles de commerce avec spécialisation en audit) est requis. Une première expérience en cabinet d’audit ou en entreprise est souvent demandée. Certains auditeurs passent des certifications professionnelles comme le Diplôme d’Expertise Comptable (DEC).
Le salaire d’un auditeur
Le salaire d’un auditeur varie en fonction de son expérience et du secteur. En début de carrière, il se situe entre 35 000 et 45 000 euros brut par an pour un auditeur junior. Avec de l’expérience, un auditeur senior ou manager peut gagner entre 60 000 et 80 000 euros brut par an. Dans des cabinets internationaux, ce montant peut être encore plus élevé.
Les évolutions de carrière d’un auditeur
Avec de l’expérience, un auditeur peut évoluer vers des postes de manager d’audit, d’auditeur senior, ou de directeur d’audit interne. Il peut également devenir contrôleur financier ou directeur financier (CFO), ou évoluer vers des fonctions de conseil en gestion des risques ou en conformité.
Le manager auditeur supervise et coordonne les missions d’audit au sein d’un cabinet ou d’une entreprise. Il est responsable de la gestion d’une équipe d’auditeurs, de la planification des missions d’audit et de la vérification de la conformité des comptes et des processus financiers. Son rôle est d’assurer la qualité des audits, de conseiller les dirigeants et de garantir la mise en œuvre des recommandations d’audit. En plus de gérer les équipes, le manager auditeur intervient sur des audits complexes, guide ses collaborateurs et participe au développement des relations clients.
Les missions d’un manager auditeur
Le manager auditeur supervise et coordonne les équipes d’audit lors de missions en entreprise
Il planifie les missions d’audit et garantit leur bonne exécution dans le respect des délais
Il révise et valide les rapports d’audit avant leur présentation à la direction ou aux clients
Le manager auditeur identifie les risques financiers, fiscaux ou opérationnels et propose des actions correctives
Il accompagne et conseille les clients ou la direction sur les meilleures pratiques de gestion des risques et de conformité
Il assure la gestion des relations avec les clients, notamment lors des présentations de résultats d’audit
Le manager auditeur participe au développement commercial du cabinet d’audit en répondant aux appels d’offres et en identifiant de nouvelles opportunités
Il forme et accompagne les auditeurs juniors et seniors dans leurs missions
Il veille à la mise en place des recommandations issues des audits et suit leur application
Le profil et les compétences d’un manager auditeur
Le manager auditeur doit avoir une solide maîtrise des normes comptables et des techniques d’audit (IFRS, GAAP, etc.)
Il doit faire preuve de leadership pour encadrer les équipes d’audit et assurer leur montée en compétences
Il doit avoir des compétences en gestion des risques et en évaluation des processus internes
Le manager auditeur doit être capable de gérer plusieurs missions d’audit complexes simultanément
Il doit avoir un bon sens du relationnel pour développer les relations avec les clients et les dirigeants
Il doit être rigoureux, organisé et doté d’un esprit d’analyse pour garantir la qualité des audits réalisés
La formation pour devenir un manager auditeur
Pour devenir manager auditeur, il faut un diplôme de niveau Bac+5 dans les domaines de l’audit, de la comptabilité ou de la finance (Master CCA, DSCG, écoles de commerce avec spécialisation en audit) est requis. Une expérience significative en tant qu’auditeur senior est nécessaire pour évoluer vers ce poste. Une certification comme le Diplôme d’Expertise Comptable (DEC) peut être un plus.
Le salaire d’un manager auditeur
Le salaire d’un manager auditeur varie selon l’expérience et la taille du cabinet ou de l’entreprise. En général, il se situe entre 50 000 et 70 000 euros brut par an. Ce montant peut être plus élevé dans les grands cabinets d’audit internationaux ou pour des audits complexes.
Les évolutions de carrière d’un manager auditeur
Avec de l’expérience, un manager auditeur peut évoluer vers des postes de directeur d’audit interne, de directeur financier (CFO) ou de consultant en gestion des risques. Il peut également devenir associé dans un cabinet d’audit ou poursuivre dans des fonctions de direction au sein d’entreprises ou de cabinets de conseil.
Le commissaire aux comptes (CAC) est un professionnel indépendant chargé de vérifier et de certifier les comptes annuels des entreprises. Sa mission consiste à s’assurer de la régularité et de la sincérité des comptes des entreprises afin de garantir la transparence financière pour les actionnaires, les investisseurs et les tiers. Il effectue des audits approfondis, analyse les états financiers et vérifie que les règles comptables et fiscales en vigueur sont bien respectées. Le commissaire aux comptes joue également un rôle dans la détection des fraudes et des irrégularités comptables.
Les missions d’un commissaire aux comptes
Le commissaire aux comptes vérifie la régularité et la sincérité des comptes annuels des entreprises
Il certifie les états financiers des entreprises à la fin de l’exercice comptable
Il réalise des audits financiers approfondis pour analyser les risques et les irrégularités
Le commissaire aux comptes contrôle l’application des normes comptables et fiscales (IFRS, GAAP, etc.)
Il participe aux réunions avec la direction et les conseils d’administration pour discuter des résultats d’audit
Il émet des rapports d’audit détaillés, incluant des recommandations pour améliorer la gestion financière
Le commissaire aux comptes identifie les fraudes potentielles ou les erreurs comptables et alerter la direction
Il assure une veille légale et réglementaire pour garantir la conformité des audits
Il conseille les entreprises en matière de contrôle interne et de gestion des risques financiers
Le profil et les compétences d’un commissaire aux comptes
Le commissaire aux comptes doit avoir une excellente connaissance des normes comptables, fiscales et juridiques
Il doit faire preuve de rigueur et d’intégrité dans la vérification et l’analyse des comptes
Il doit avoir une grande capacité d’analyse pour identifier les irrégularités ou les fraudes
Le commissaire aux comptes doit savoir rédiger des rapports d’audit clairs et structurés à destination des parties prenantes
Il doit être capable de travailler en toute indépendance tout en respectant les obligations légales et déontologiques
La formation pour devenir un commissaire aux comptes
Le métier de commissaire aux comptes est accessible après l’obtention du Diplôme d’Expertise Comptable (DEC). Une fois le DEC obtenu, il est nécessaire de suivre une formation complémentaire et de prêter serment pour devenir commissaire aux comptes inscrit auprès de la Compagnie Nationale des Commissaires aux Comptes (CNCC). Une expérience en cabinet comptable ou en audit est souvent indispensable avant de devenir commissaire aux comptes.
Le salaire d’un commissaire aux comptes
Le salaire d’un commissaire aux comptes peut varier en fonction de l’expérience, de la taille de l’entreprise et de la localisation géographique. En général, les salaires peuvent aller de 50 000 et 80 000 euros brut par an.
Les évolutions de carrière d’un commissaire aux comptes
Les commissaires aux comptes peuvent évoluer vers des postes de direction dans des cabinets d’audit, devenir associés, ou occuper des rôles de conseil stratégique dans le domaine financier et de la comptabilité.
L’assistant paie est chargé de la gestion administrative et opérationnelle des salaires au sein d’une entreprise ou d’un cabinet spécialisé. Il assiste le gestionnaire de paie dans la collecte et la saisie des données relatives aux salaires, aux congés, aux cotisations sociales, et aux absences. Il veille à ce que les bulletins de paie soient établis conformément à la législation en vigueur et participe au suivi des dossiers des employés (mutuelles, contrats, etc.). Ce métier d’assistant paie demande de la rigueur et une bonne connaissance des outils informatiques dédiés à la gestion de la paie.
Les missions d’un assistant paie
L’assistant paie collecte, saisie et vérifie les éléments variables de paie (heures supplémentaires, primes, congés, etc.)
Il prépare les bulletins de salaire en veillant à la conformité avec la législation et les conventions collectives
Il gère les déclarations sociales (URSSAF, retraite, mutuelle) et assure leur suivi
L’assistant paie tient à jour les dossiers administratifs des salariés (contrats de travail, arrêts maladie, mutuelles)
Il assure le suivi des absences, des congés payés et des arrêts de travail
Il participe à la rédaction des contrats de travail et avenants
L’assistant paie répond aux questions des salariés concernant leur rémunération ou leurs cotisations sociales
Il collabore avec le gestionnaire de paie et le service des ressources humaines pour assurer une gestion fluide de la paie
Le profil et les compétences d’un assistant paie
L’assistant paie doit avoir une bonne connaissance des bases du droit du travail et de la législation sociale
Il doit maîtriser les outils informatiques et logiciels de paie (Sage, Cegid, ADP, etc.)
Il doit être rigoureux et organisé pour gérer les éléments de paie dans les délais impartis
L’assistant paie doit faire preuve de discrétion et respecter la confidentialité des informations salariales
Il doit avoir un bon sens du relationnel pour répondre aux demandes des salariés et collaborer avec les équipes RH
La formation pour devenir un assistant paie
Pour devenir assistant paie, il faut un diplôme de niveau Bac à Bac+2 dans les domaines de la gestion, de la comptabilité ou des ressources humaines (BTS Comptabilité et Gestion, DUT GEA, Licence Pro Gestion des Ressources Humaines) est recommandé. Une première expérience dans un service paie ou en ressources humaines est un plus pour accéder à ce poste.
Le salaire d’un assistant paie
Le salaire d’un assistant paie varie en fonction de l’expérience et de la taille de l’entreprise. En début de carrière, il se situe entre 24 000 et 28 000 euros brut par an. Avec de l’expérience, ce montant peut atteindre 35 000 euros brut par an.
Les évolutions de carrière d’un assistant paie
Avec de l’expérience, un assistant paie peut évoluer vers un poste de gestionnaire de paie, de responsable paie, ou encore vers des fonctions en ressources humaines, comme chargé des ressources humaines ou responsable RH.
L’activité en résumé d’un gestionnaire paie et ADP
Le gestionnaire paie et ADP est chargé de la gestion complète de la paie et de l’administration du personnel au sein d’une entreprise. Il assure le calcul des salaires, le suivi des dossiers administratifs des employés et la conformité aux réglementations en matière de paie et de ressources humaines.
Les missions d’un gestionnaire paie et ADP
Le gestionnaire paie et ADP recueille et traite les informations relatives aux salaires, aux congés et aux absences
Il prépare et édite les bulletins de paie en conformité avec la législation sociale et les conventions collectives
Il gère les déclarations sociales (DSN, URSSAF, mutuelle, prévoyance, retraite, etc.)
Le gestionnaire paie et ADP tient à jour les dossiers administratifs des salariés (contrats, avenants, dossiers maladie, etc.)
Il gère les formalités d’entrée et de sortie des employés (DPAE, certificats de travail, soldes de tout compte)
Il assure le suivi des congés, des arrêts de travail et des absences diverses
Le gestionnaire paie et ADP répond aux questions des salariés concernant leur paie, leurs droits et leurs obligations
Il collabore avec les services RH et financiers pour garantir la bonne gestion administrative du personnel
Il veille à la mise en conformité des pratiques de paie avec la législation en vigueur
Le profil et les compétences d’un gestionnaire paie et ADP
Le gestionnaire paie et ADP doit avoir une solide connaissance des règles de paie, du droit du travail et des conventions collectives
Il doit maîtriser les logiciels de paie (Sage, Cegid, ADP, etc.) et les outils bureautiques
Il doit faire preuve de rigueur et d’organisation pour gérer les données salariales et administratives
Le gestionnaire paie et ADP doit être capable de respecter les délais et de gérer plusieurs tâches en parallèle
Il doit avoir un bon sens du relationnel pour interagir avec les salariés et les services internes
Il doit faire preuve de discrétion et de confidentialité dans la gestion des informations personnelles
La formation pour devenir un gestionnaire paie et ADP
Pour devenir gestionnaire paie et ADP, il faut un diplôme de niveau Bac+2 à Bac+3 dans les domaines de la gestion, des ressources humaines ou de la comptabilité (BTS Comptabilité et Gestion, DUT GEA, Licence Pro RH) est requis. Des formations spécifiques en gestion de la paie ou en droit social sont également un plus.
Le salaire d’un gestionnaire paie et ADP
Le salaire d’un gestionnaire paie et ADP peut varier en fonction de l’expérience, de la taille de l’entreprise et de la localisation géographique. En général, les salaires peuvent aller de 30 000 et 40 000 euros brut par an.
Les évolutions de carrière d’un gestionnaire paie et ADP
Avec de l’expérience, un gestionnaire paie et ADP peut évoluer vers des postes de responsable paie, responsable des ressources humaines, ou encore vers des fonctions plus spécialisées comme gestionnaire de la paie internationale ou expert en droit social.
Le collaborateur social, également appelé gestionnaire des ressources humaines, joue un rôle essentiel dans la gestion administrative du personnel au sein d’une entreprise. Il est chargé de la gestion des dossiers administratifs des employés, du suivi des contrats de travail et de l’application des politiques RH.
Les missions d’un collaborateur social
Le collaborateur social prépare et gère les bulletins de paie pour les clients ou les salariés d’une entreprise
Il assure les déclarations sociales (DSN, URSSAF, mutuelle, prévoyance, retraite)
Il gère l’administration du personnel (embauche, contrat de travail, congés, arrêts de travail, solde de tout compte)
Le collaborateur social conseille les clients ou la direction sur les obligations légales et les droits sociaux
Il veille à l’application des conventions collectives et au respect des législations en vigueur
Il assure une veille juridique sur l’évolution des lois sociales et des réglementations
Le collaborateur social répond aux questions des clients ou des employés concernant leur rémunération ou les aspects administratifs
Il collabore avec les services comptabilité et ressources humaines pour garantir la conformité et l’efficacité des processus sociaux
Le profil et les compétences d’un collaborateur social
Le collaborateur social doit avoir une bonne maîtrise des logiciels de paie (Sage, Cegid, ADP, etc.) et des outils bureautiques
Il doit connaître les bases du droit du travail, des conventions collectives et des obligations sociales
Il doit faire preuve de rigueur et d’organisation pour gérer des dossiers administratifs et sociaux complexes
Le collaborateur social doit avoir des compétences en communication pour conseiller et répondre aux clients ou aux salariés
Il doit savoir gérer plusieurs tâches en parallèle et respecter les délais, en particulier pendant les périodes de clôture de paie
La formation pour devenir un collaborateur social
Pour devenir collaborateur social, il faut un diplôme de niveau Bac+2 à Bac+3 dans les domaines de la gestion, des ressources humaines ou de la comptabilité (BTS Comptabilité et Gestion, DUT GEA, Licence Pro RH) est requis. Une spécialisation en gestion de la paie ou en droit social est souvent appréciée. Une expérience en cabinet comptable ou dans un service paie est un atout pour ce poste.
Le salaire d’un collaborateur social
Le salaire d’un collaborateur social varie selon son expérience et la taille de l’entreprise ou du cabinet. En début de carrière, il se situe entre 26 000 et 32 000 euros brut par an. Avec de l’expérience, ce montant peut atteindre 40 000 euros brut par an ou plus.
Les évolutions de carrière d’un collaborateur social
Avec de l’expérience, un collaborateur social peut évoluer vers des postes de gestionnaire de paie, de responsable paie et administration du personnel, ou de consultant en droit social et gestion des ressources humaines.
L’activité en résumé d’un responsable de service social
Le responsable de service social est chargé de la coordination et de la gestion d’une équipe de travailleurs sociaux au sein d’une structure sociale ou médico-sociale. Son rôle est de superviser les activités du service, d’assurer le suivi des dossiers des bénéficiaires, et de contribuer à la mise en place de politiques sociales.
Les missions d’un responsable de service social
Le responsable de service social supervise et encadre l’équipe de collaborateurs sociaux ou de gestionnaires de paie
Il assure la gestion et la validation des paies pour les clients ou les salariés d’une entreprise
Il gère les déclarations sociales (DSN, URSSAF, retraite, mutuelle, prévoyance, etc.)
Le responsable de service social veille à l’application des conventions collectives et au respect des obligations légales en matière de droit social
Il conseille les clients ou la direction sur la gestion du personnel et les questions liées aux obligations sociales
Il assure une veille juridique et sociale pour adapter les pratiques en fonction des évolutions législatives
Le responsable de service social gère les formalités d’embauche et de départ des salariés (DPAE, solde de tout compte, etc.)
Il supervise les relations avec les organismes sociaux et les administrations fiscales
Il garantit la conformité des pratiques RH avec les réglementations en vigueur
Le profil et les compétences d’un responsable de service social
Le responsable de service social doit avoir une maîtrise approfondie des logiciels de paie et des outils de gestion du personnel (Sage, Cegid, ADP, etc.)
Il possède des connaissances solides en droit du travail et en législation sociale
Il doit faire preuve de leadership pour encadrer une équipe et la faire monter en compétences
Le responsable de service social doit être rigoureux et organisé pour garantir la conformité des déclarations sociales et des paies
Il doit avoir de bonnes compétences en communication pour conseiller les clients ou la direction sur les aspects sociaux
La formation pour devenir un responsable de service social
Pour devenir responsable de service social, il faut un diplôme de niveau Bac+3 à Bac+5 dans les domaines de la gestion des ressources humaines, de la comptabilité ou du droit social est requis (Licence Pro RH, Master RH, Master Droit Social). Une expérience significative en gestion de la paie et en droit social est nécessaire, ainsi qu’une expérience préalable dans un poste similaire ou en cabinet comptable.
Le salaire d’un responsable de service social
Le salaire d’un responsable de service social varie selon l’expérience et la taille de l’entreprise ou du cabinet. En général, il se situe entre 45 000 et 60 000 euros brut par an. Ce montant peut augmenter dans les grandes structures ou avec des responsabilités accrues.
Les évolutions de carrière d’un responsable de service social
Les responsables de service social peuvent évoluer vers des postes de direction au sein d’organisations sociales ou médico-sociales, devenir consultants en politiques sociales, ou se spécialiser dans des domaines spécifiques du travail social.
Le juriste en droit social est un professionnel du droit spécialisé dans les questions liées aux relations entre employeurs et salariés, ainsi qu’aux aspects sociaux de l’entreprise. Il conseille les entreprises sur les aspects juridiques liés au droit du travail et aux ressources humaines.
Les missions d’un juriste en droit social
Le juriste en droit social conseille la direction et les ressources humaines sur les aspects juridiques du droit du travail
Il rédige et révise les contrats de travail, accords d’entreprise, et autres documents légaux
Il assure une veille juridique et informe l’entreprise des évolutions législatives et réglementaires en droit social
Le juriste en droit social gère les litiges individuels et collectifs liés au droit du travail (licenciements, contentieux prud’homaux, etc.)
Il prépare et accompagne l’entreprise lors des négociations avec les représentants du personnel (CE, CSE, syndicats)
Il assiste les entreprises dans la gestion des relations collectives (accords d’entreprise, restructurations, plans sociaux)
Le juriste en droit social représente l’entreprise devant les juridictions compétentes en cas de contentieux
Il assure le respect des obligations légales en matière de santé et sécurité au travail
Il propose des stratégies pour prévenir les conflits sociaux et optimise la gestion des relations de travail
Le profil et les compétences d’un juriste en droit social
Le juriste en droit social doit avoir une excellente connaissance du droit du travail et des conventions collectives
Il doit faire preuve de rigueur dans l’analyse et la gestion des dossiers juridiques
Il doit avoir des compétences en négociation pour accompagner les entreprises dans les discussions sociales
Le juriste en droit social doit être capable de vulgariser les textes législatifs et réglementaires pour conseiller efficacement les services RH
Il doit avoir de bonnes compétences rédactionnelles pour rédiger des documents légaux et des rapports juridiques
Faire preuve de discrétion et de diplomatie dans la gestion des conflits sociaux
La formation pour devenir un juriste en droit social
Pour devenir juriste en droit social, il faut un diplôme de niveau Bac+5 en droit, avec une spécialisation en droit social ou droit du travail (Master Droit Social, Droit des Ressources Humaines), est requis. Une première expérience en cabinet d’avocats spécialisé en droit social ou en entreprise est souvent demandée pour accéder à ce poste.
Le salaire d’un juriste en droit social
Le salaire d’un juriste en droit social varie selon l’expérience et la taille de l’entreprise. En début de carrière, il se situe entre 35 000 et 45 000 euros brut par an. Avec de l’expérience, ce montant peut atteindre 60 000 euros brut par an, voire plus dans les grandes entreprises.
Les évolutions de carrière d’un juriste en droit social
Avec de l’expérience, un juriste en droit social peut évoluer vers des postes de responsable juridique, de directeur des ressources humaines ou de consultant en droit social. Il peut également devenir avocat spécialisé en droit du travail après avoir passé l’examen du barreau.
L’activité en résumé d’un paramétreur logiciel paie
Le paramétreur logiciel paie est chargé de configurer et de personnaliser des logiciels de gestion de la paie pour répondre aux besoins spécifiques des clients ou de l’entreprise. Il travaille sur la mise en place des paramètres de la paie, des déductions et des avantages sociaux.
Les missions d’un paramétreur logiciel paie
Le paramétreur logiciel paie configure et personnalise les logiciels de paie selon les besoins et les spécificités de l’entreprise
Il paramètre les règles de paie, les taux de cotisations sociales, les congés, et les avantages sociaux
Il veille à la conformité des systèmes de paie avec les évolutions légales et conventionnelles
Le paramétreur logiciel paie collabore avec le service paie et RH pour adapter les fonctionnalités du logiciel aux besoins opérationnels
Il assure les mises à jour des logiciels suite aux changements réglementaires ou législatifs
Il forme les utilisateurs (gestionnaires de paie, RH) à l’utilisation des logiciels et aux nouvelles fonctionnalités
Le paramétreur logiciel paie identifie et résout les problèmes techniques ou dysfonctionnements des systèmes de paie
Il participe à la migration de données en cas de changement de logiciel ou de mise à jour majeure
Il rédige des documentations techniques et des procédures pour l’utilisation du logiciel
Le profil et les compétences d’un paramétreur logiciel paie
Le paramétreur logiciel paie doit avoir une bonne connaissance des logiciels de paie (Sage, Cegid, ADP, etc.)
Il doit maîtriser les règles de paie, la législation sociale et les conventions collectives
Il doit avoir des compétences techniques en paramétrage logiciel et en gestion de bases de données
Le paramétreur logiciel paie doit faire preuve de rigueur pour s’assurer de la conformité des configurations avec les réglementations en vigueur
Il doit avoir des compétences en communication pour former les utilisateurs et répondre à leurs questions techniques
Il doit être capable de résoudre des problèmes techniques rapidement et de manière autonome
La formation pour devenir un paramétreur logiciel paie
Pour devenir paramétreur logiciel paie, il faut un diplôme de niveau Bac+2 à Bac+3 dans les domaines de l’informatique, de la gestion de la paie ou des ressources humaines (BTS Systèmes Informatiques aux Organisations, BTS Comptabilité et Gestion, Licence Pro Gestion des Ressources Humaines) est recommandé. Une formation spécialisée en gestion de la paie et une expérience dans l’administration de logiciels de paie sont également des atouts.
Le salaire d’un paramétreur logiciel paie
Le salaire d’un paramétreur logiciel paie peut varier en fonction de l’expérience, de la taille de l’entreprise et de la localisation géographique. En général, les salaires peuvent aller de 35 000 et 50 000 euros brut par an.
Les évolutions de carrière d’un paramétreur logiciel paie
Avec de l’expérience, un paramétreur logiciel paie peut évoluer vers des postes de chef de projet paie, consultant en systèmes d’information RH, ou responsable paie et SIRH. Il peut également se spécialiser dans l’intégration de logiciels RH plus complexes ou dans des projets de transformation numérique des entreprises.
Le métier de chargé de mission audit et conseil RH
L’activité en résumé d’un chargé de mission audit et conseil RH
Le chargé de mission audit et conseil RH est un professionnel spécialisé dans l’audit et le conseil en ressources humaines. Il intervient au sein des entreprises pour évaluer les pratiques RH, identifier des axes d’amélioration et proposer des solutions pour optimiser la gestion du capital humain.
Les missions d’un chargé de mission audit et conseil RH
Le chargé de mission audit et conseil RH réalise des audits RH pour évaluer les pratiques en matière de gestion du personnel
Il analyse les processus RH, tels que le recrutement, la gestion de la paie, la formation, et la gestion des talents
Il identifie les non-conformités et les axes d’amélioration dans les pratiques RH de l’entreprise
Le chargé de mission audit et conseil RH rédige des rapports d’audit avec des recommandations pour optimiser la gestion des ressources humaines
Il accompagne les dirigeants et les services RH dans la mise en place de nouvelles stratégies ou outils RH
Il s’assure que l’entreprise respecte les obligations légales et réglementaires en matière de droit du travail
Le chargé de mission audit et conseil RH suit les indicateurs de performance RH et propose des ajustements en fonction des résultats
Il conseille les managers sur les questions liées aux relations sociales et à la gestion du personnel
Il participe à la mise en place de projets RH innovants pour améliorer l’attractivité et la rétention des talents
Le profil et les compétences d’un chargé de mission audit et conseil RH
Le chargé de mission audit et conseil RH doit avoir une excellente connaissance du droit du travail et des pratiques RH
Il doit faire preuve d’analyse et de synthèse pour évaluer les processus RH et identifier les points d’amélioration
Il doit avoir des compétences en gestion de projet pour coordonner les plans d’action suite aux audits
Le chargé de mission audit et conseil RH doit savoir communiquer efficacement pour conseiller et accompagner les dirigeants et les équipes RH
Il doit être rigoureux et organisé pour gérer plusieurs missions simultanément
Il doit maîtriser les outils et logiciels RH (SIRH, logiciels de paie, gestion des talents)
La formation pour devenir un chargé de mission audit et conseil RH
Pour devenir chargé de mission Audit et conseil RH, il faut un diplôme de niveau Bac+5 dans les domaines des ressources humaines, du droit social ou de la gestion est généralement requis (Master RH, Master Droit Social, MBA Gestion des Ressources Humaines). Une première expérience dans les ressources humaines ou en audit RH est souvent demandée pour accéder à ce poste.
Le salaire d’un chargé de mission audit et conseil RH
Le salaire d’un chargé de mission audit et conseil RH peut varier en fonction de l’expérience, de la taille de l’entreprise et de la localisation géographique. En général, les salaires peuvent aller de 40 000 et 60 000 euros brut par an.
Les évolutions de carrière d’un chargé de mission audit et conseil RH
Les chargés de mission audit et conseil RH peuvent évoluer vers des postes de consultant RH senior, de responsable RH ou de directeur des ressources humaines.
L’activité en résumé d’un juriste en droit des sociétés
Le juriste en droit des sociétés accompagne les entreprises dans la gestion de leurs problématiques juridiques liées à la vie des sociétés, depuis leur création jusqu’à leur liquidation ou transformation. Il intervient sur les aspects liés à la constitution des sociétés, les opérations de restructuration (fusions, acquisitions), et assure la conformité juridique des entreprises avec les lois en vigueur. Il rédige et révise les contrats, les statuts et conseille les dirigeants sur les obligations légales, les formalités administratives et les relations entre associés.
Les missions d’un juriste en droit des sociétés
Le juriste en droit des sociétés conseille les entreprises sur la constitution et la gestion des structures juridiques (SA, SAS, SARL, etc.)
Il rédige et révise les statuts des sociétés, les pactes d’associés et autres documents juridiques
Il prépare et gère les formalités légales (assemblées générales, modifications statutaires, augmentations de capital)
Le juriste en droit des sociétés assure la gestion des opérations de fusions, acquisitions, cessions et restructurations d’entreprises
Il veille à la conformité juridique des opérations courantes avec les réglementations en vigueur
Il conseille les dirigeants et les actionnaires sur leurs droits et obligations
Le juriste en droit des sociétés rédige des contrats commerciaux et participe aux négociations juridiques
Il assure une veille juridique pour anticiper les évolutions législatives et réglementaires
Il gère les contentieux liés aux litiges entre associés ou liés aux activités de la société
Le profil et les compétences d’un juriste en droit des sociétés
Le juriste en droit des sociétés doit avoir une solide maîtrise du droit des sociétés et du droit des affaires
Il doit faire preuve de rigueur et d’organisation pour gérer plusieurs dossiers en parallèle
Il doit avoir des compétences en négociation pour gérer les accords entre associés ou lors des opérations de fusion-acquisition
Le juriste en droit des sociétés doit savoir rédiger des documents juridiques complexes de manière claire et précise
Il doit être capable d’anticiper les risques juridiques et de conseiller les dirigeants sur les meilleures pratiques
La formation pour devenir un juriste en droit des sociétés
Pour devenir juriste en droit des sociétés, il faut un diplôme de niveau Bac+5 en droit, avec une spécialisation en droit des affaires ou en droit des sociétés (Master Droit des Affaires, Master Droit des Sociétés) est requis. Une première expérience en cabinet d’avocats ou en entreprise est généralement demandée pour accéder à ce poste.
Le salaire d’un juriste en droit des sociétés
Le salaire d’un juriste en droit des sociétés peut varier en fonction de l’expérience, de la taille de l’entreprise et de la localisation géographique. En général, les salaires peuvent aller de 40 000 et 70 000 euros brut par an.
Les évolutions de carrière d’un juriste en droit des sociétés
Les juristes en droit des sociétés peuvent évoluer vers des postes de juriste senior, de responsable juridique, ou devenir avocats spécialisés en droit des affaires.
L’activité en résumé d’un juriste en droit du travail
Le juriste en droit du travail conseille et accompagne les entreprises sur toutes les questions liées aux relations de travail, que ce soit en matière de contrat, de gestion des conflits, de licenciement ou de respect des obligations légales en matière de droit social. Il assure la conformité des pratiques RH avec la législation sociale et les conventions collectives, et intervient également dans la gestion des contentieux liés au droit du travail. Il joue un rôle essentiel dans la prévention des risques sociaux, la gestion des relations avec les instances représentatives du personnel et la défense des intérêts de l’entreprise en cas de litige.
Les missions d’un juriste en droit du travail
Le juriste en droit du travail conseille la direction et les ressources humaines sur les obligations légales en matière de droit du travail
Il rédige et révise les contrats de travail, accords d’entreprise, et autres documents relatifs à la gestion du personnel
Il gère les contentieux prud’homaux, prépare les dossiers et représente l’entreprise devant les juridictions compétentes
Le juriste en droit du travail veille à la conformité des pratiques RH avec les lois sociales, les conventions collectives et les accords d’entreprise
Il assiste l’entreprise lors des négociations avec les représentants du personnel et dans la gestion des relations sociales
Il assure une veille juridique pour anticiper les évolutions légales et réglementaires
Le juriste en droit du travail participe à la gestion des restructurations, licenciements collectifs, et plans de sauvegarde de l’emploi
Il conseille sur les questions liées à la santé et sécurité au travail, et prévient les risques psychosociaux
Il élabore des stratégies pour minimiser les risques juridiques liés à la gestion des ressources humaines
Le profil et les compétences d’un juriste en droit du travail
Le juriste en droit du travail doit avoir une excellente connaissance du droit du travail et des relations sociales
Il doit faire preuve de rigueur et d’organisation pour gérer plusieurs dossiers juridiques simultanément
Il doit être capable de négocier et de trouver des solutions aux conflits entre salariés et employeurs
Le juriste en droit du travail doit savoir rédiger des documents juridiques clairs et conformes aux obligations légales
Il doit avoir une capacité à vulgariser des textes législatifs et à proposer des solutions adaptées à l’entreprise
La formation pour devenir un juriste en droit du travail
Pour devenir juriste en droit des sociétés, il faut un diplôme de niveau Bac+5 en droit, avec une spécialisation en droit social ou en droit du travail (Master Droit Social, Master Droit du Travail) est requis. Une première expérience en cabinet d’avocats spécialisé en droit social ou en entreprise est souvent demandée pour accéder à ce poste.
Le salaire d’un juriste en droit du travail
Le salaire d’un juriste en droit du travail peut varier en fonction de l’expérience, de la taille de l’entreprise et de la localisation géographique. En général, les salaires peuvent aller de 40 000 et 70 000 euros brut par an.
Les évolutions de carrière d’un juriste en droit du travail
Les juristes en droit des sociétés peuvent évoluer vers des postes de juriste senior, de responsable juridique, ou devenir avocats spécialisés en droit des affaires.
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