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Nos équipes de spécialistes vous accompagnent dans vos recrutements dans le domaine de l’environnement, et plus particulièrement des énergies renouvelables, de la mobilité douce, de la gestion des déchets, du traitement de l’eau, mais également toutes les entreprises qui recherchent des talents pour porter leurs projets RSE ou QSE.
Le métier de technicien de maintenance éolien
L’activité en résumé d’un technicien de maintenance éolien
Le technicien de maintenance éolien est un acteur essentiel dans le secteur de l’énergie renouvelable. Il est responsable de l’entretien et de la réparation des éoliennes, garantissant leur bon fonctionnement et optimisant leur rendement.
Les missions d’un technicien maintenance éolien
- Réaliser des opérations de maintenance préventive et corrective sur les éoliennes
- Diagnostiquer et résoudre les pannes et dysfonctionnements
- Effectuer des contrôles réguliers pour assurer la sécurité et l’efficacité des installations
- Rédiger des rapports de maintenance et mettre à jour les données techniques
Le profil et les compétences d’un technicien maintenance éolien
- De solides compétences techniques en mécanique, électricité et automatisme
- Une bonne condition physique pour travailler en hauteur et dans des conditions parfois difficiles
- Capacité à analyser et résoudre des problèmes
- Compétences en communication pour travailler en équipe et rédiger des rapports
La formation pour devenir un technicien maintenance éolien
Pour devenir technicien de maintenance éolien, un diplôme de niveau bac professionnel à bac+2 dans les domaines de la maintenance industrielle, de l’électrotechnique ou de la mécanique est généralement requis. Des formations spécifiques aux énergies renouvelables sont un plus.
Le salaire d’un technicien maintenance éolien
Le salaire varie selon l’expérience et l’entreprise. Un technicien débutant peut s’attendre à un salaire d’environ 25 000 à 30 000 euros brut par an, pouvant augmenter avec l’expérience et les compétences spécifiques.
Les évolutions de carrière d’un technicien maintenance éolien
Le technicien éolien peut évoluer vers des postes de supervision, de formation ou intégrer des équipes de développement de nouveaux projets dans le secteur des énergies renouvelables. La mobilité internationale est également une option dans ce secteur en croissance.
Le métier de ingénieur études eau et assainissement
L’activité en résumé d’un ingénieur études eau et assainissement
L’ingénieur études eau et assainissement est un spécialiste chargé de concevoir, développer et améliorer les systèmes de gestion de l’eau et d’assainissement. Ce rôle est crucial pour garantir une gestion durable et efficace des ressources en eau.
Les missions d’un ingénieur études eau et assainissement
- La conception et planification de projets liés à l’eau et à l’assainissement
- La réalisation d’études d’impact et de faisabilité
- La supervision de la mise en œuvre des projets et coordination avec diverses parties prenantes
- La contribution à l’innovation et à l’amélioration des méthodes de traitement de l’eau
Le profil et les compétences d’un ingénieur études eau et assainissement
- De solides connaissances en génie civil, hydraulique et environnement
- Capacité à gérer des projets complexes et à travailler en équipe multidisciplinaire
- Compétences analytiques pour l’évaluation et la résolution de problèmes
- Sens de l’innovation et de la durabilité
La formation pour devenir ingénieur études eau et assainissement
Le parcours type pour ce métier inclut un diplôme d’ingénieur ou un master en génie civil, hydraulique, environnement ou dans un domaine connexe. Des spécialisations en gestion de l’eau sont particulièrement appréciées.
Le salaire d’un ingénieur études eau et assainissement
Pour un débutant, le salaire peut varier de 30 000 à 35 000 euros brut annuel. Avec de l’expérience, ce montant peut significativement augmenter, reflétant l’expertise et les responsabilités acquises.
Les évolutions de carrière d’un ingénieur études eau et assainissement
Les perspectives d’évolution incluent des postes de direction de projets, de management d’équipes, ou des rôles de consultant dans le domaine de l’environnement. L’expertise dans ce secteur peut également ouvrir des opportunités au niveau international.
Le métier de responsable d’exploitation dans le traitement des déchets
L’activité en résumé d’un responsable d’exploitation dans le traitement des déchets
Le responsable d’exploitation dans le traitement des déchets joue un rôle clé dans la gestion et l’optimisation des processus de traitement des déchets. Cette fonction est essentielle pour assurer une gestion écologique et efficace des déchets.
Les missions d’un responsable d’exploitation dans le traitement des déchets
- La supervision du fonctionnement quotidien des installations de traitement des déchets
- La gestion des équipes et des ressources matérielles
- La mise en œuvre de stratégies pour optimiser les processus de traitement
- Le respect des normes environnementales et de sécurité
- La collaboration avec les autorités locales et les partenaires
Le profil et les compétences d’un responsable d’exploitation dans le traitement des déchets
- Une solide expérience en gestion d’installations industrielles, idéalement dans le secteur des déchets
- Des compétences en management d’équipe et en gestion de projet
- Une bonne connaissance des réglementations environnementales
- Des capacités d’analyse et de résolution de problèmes
La formation pour devenir responsable d’exploitation dans le traitement des déchets
Une formation de niveau bac+3 à bac+5 en gestion des déchets, génie de l’environnement ou management industriel est souvent requise. Des expériences professionnelles dans le secteur sont un atout majeur.
Le salaire d’un responsable d’exploitation dans le traitement des déchets
Le salaire d’un responsable d’exploitation débutant se situe généralement entre 35 000 et 40 000 euros brut annuel, pouvant augmenter avec l’expérience et les compétences acquises.
Les évolutions de carrière d’un responsable d’exploitation dans le traitement des déchets
Les perspectives d’évolution incluent des postes de direction au sein d’entreprises de gestion des déchets, des rôles de conseil en environnement ou des positions stratégiques dans des organisations liées à la gestion des déchets et à l’écologie.
Le métier de chef de projet agrivoltaïsme
L’activité en résumé d’un chef de projet agrivoltaïsme
Le chef de projet agrivoltaïsme est un professionnel spécialisé dans la gestion et le développement de projets combinant agriculture et production d’énergie solaire. Il joue un rôle crucial dans la conciliation de la production agricole durable et de la production d’énergie renouvelable.
Les missions d’un chef de projet agrivoltaïsme
- Conception et développement de projets agrivoltaïques
- Coordination des études de faisabilité et des analyses d’impact environnemental
- Gestion des relations avec les agriculteurs, les investisseurs et les autorités
- Suivi du bon déroulement des projets, de la planification à la mise en œuvre
Le profil et les compétences d’un chef de projet agrivoltaïsme
- Des compétences en gestion de projet et en énergies renouvelables
- Une bonne connaissance de l’agriculture et des enjeux environnementaux
- Des aptitudes en communication et en négociation
- Des capacités à travailler en équipe et à gérer des projets complexes
La formation pour devenir chef de projet agrivoltaïsme
Un diplôme d’ingénieur ou un master dans les domaines de l’agronomie, de l’énergie renouvelable ou du développement durable est souvent requis. Des formations complémentaires en agrivoltaïsme peuvent être un plus.
Le salaire d’un chef de projet agrivoltaïsme
Le salaire varie selon l’expérience et l’entreprise. Pour un débutant, il peut se situer entre 30 000 et 40 000 euros brut annuel, avec des perspectives d’augmentation significatives avec l’expérience.
Les évolutions de carrière d’un chef de projet agrivoltaïsme
Les opportunités d’évolution incluent des postes de direction de projets d’envergure, des rôles de consultant en énergies renouvelables, ou encore des positions stratégiques dans des organisations liées à l’agriculture durable et à l’énergie solaire.
Le métier de prospecteur foncier en énergies renouvelables
L’activité en résumé d’un prospecteur foncier en énergies renouvelables
Le prospecteur foncier dans le domaine des énergies renouvelables (EnR) est essentiel pour identifier et sécuriser les terrains adaptés à l’implantation de projets EnR comme les parcs éoliens, solaires, ou autres installations renouvelables.
Les missions d’un prospecteur foncier en énergies renouvelables
- Identification et évaluation de sites potentiels pour des projets EnR
- Négociation avec les propriétaires fonciers et les collectivités locales
- Réalisation d’études préliminaires et de faisabilité
- Coordination avec les équipes techniques et juridiques
- Suivi des procédures administratives et réglementaires
Le profil et les compétences d’un prospecteur foncier en énergies renouvelables
- Une bonne connaissance des énergies renouvelables et du marché foncier
- Des compétences en négociation et en communication
- Une capacité à travailler de manière autonome et à prendre des initiatives
- Une aisance dans la gestion de projets et la résolution de problèmes
La formation pour devenir prospecteur foncier en énergies renouvelables
Un diplôme dans les domaines de l’environnement, de l’urbanisme, de l’aménagement du territoire ou en droit de l’immobilier est généralement requis. Des connaissances spécifiques en énergies renouvelables sont un atout.
Le salaire d’un prospecteur foncier en énergies renouvelables
Le salaire pour un débutant peut varier entre 25 000 et 35 000 euros brut annuel, avec des perspectives d’évolution en fonction de l’expérience et des succès obtenus dans la prospection.
Les évolutions de carrière d’un prospecteur foncier en énergies renouvelables
Les perspectives incluent l’évolution vers des postes de gestion de projets d’envergure, des rôles de conseil en développement de projets EnR, ou des positions de direction dans des entreprises spécialisées dans les énergies renouvelables.
Le métier de responsable RSE
L’activité en résumé d’un responsable RSE
Le responsable de la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) joue un rôle crucial dans la stratégie d’engagement social et environnemental d’une entreprise. Ce professionnel est chargé de développer et de mettre en œuvre des politiques durables, en accord avec les objectifs éthiques, écologiques et sociaux de l’entreprise.
Les missions d’un responsable RSE
- Définir la stratégie RSE de l’entreprise en collaboration avec la direction
- Mettre en place des projets RSE et suivre leur progression
- Assurer la communication interne et externe sur les initiatives RSE
- Réaliser des audits réguliers pour évaluer l’impact des actions menées
- Collaborer avec différents départements pour intégrer la RSE dans toutes les activités de l’entreprise
Le profil et les compétences d’un responsable RSE
- Une forte sensibilité aux enjeux sociaux et environnementaux
- Des compétences en gestion de projet et en communication
- Une capacité à travailler en équipe et à fédérer autour de projets communs
- De solides compétences analytiques pour évaluer l’impact des actions RSE
La formation pour devenir un responsable RSE
Pour devenir responsable RSE, une formation de niveau bac+5 est généralement requise, souvent dans les domaines du développement durable, de l’environnement ou du management. Des formations spécifiques en RSE sont également proposées par certaines écoles et universités.
Le salaire d’un responsable RSE
Le salaire d’un responsable RSE varie en fonction de l’expérience et de la taille de l’entreprise. En moyenne, un débutant peut s’attendre à un salaire d’environ 35 000 à 40 000 euros brut par an, pouvant atteindre 60 000 euros brut par an ou plus avec l’expérience.
Les évolutions de carrière d’un responsable RSE
Les perspectives d’évolution pour un responsable RSE incluent des postes de direction dans le domaine du développement durable, des postes de conseil en stratégie RSE ou la possibilité de rejoindre des organisations internationales axées sur le développement durable et l’éthique des affaires.